Les chantiers navals et les cimetières marins ont été ses premières sources d’inspiration. Tout d’abord, Iffic fait revivre par la mine de plomb les carcasses de bateaux abandonnés. Puis, il complète son travail par des œuvres aux pastels secs et fait intervenir l’élément humain au premier plan sur des supports de fortune : bois flotté, douelles de barriques, etc. Depuis 2005, il s’attache à la gravure à la pointe sèche qu’il travaille et expose dans son atelier à Camaret.
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